Recommandé par l'Agence de Conférenciers Premium Communication, le psychologue français spécialiste de la psychologie positive, Jacques Lecomte, a été choisi par Pôle emploi en vue d'une conférence à tenir sur le sujet de l'entreprise humaniste.
A propos de Jacques Lecomte :
> Les convivialistes
> École, changer de cap !
> Le printemps de l’éducation
Cette définition montre clairement que la psychologie positive ne se limite pas à l’étude du bonheur individuel, mais comporte une dimension collective et même sociétale.
C’est ainsi que la psychologie positive apporte de nouvelles connaissances sur l’être humain, qui peuvent avoir des applications pratiques très concrètes. En effet, les recherches contemporaines montrent que des valeurs et attitudes telles que la confiance en autrui, la coopération, le respect, l’empathie, la fraternité, ont du sens non seulement dans les relations interpersonnelles, mais également au niveau social et politique, et peuvent ainsi contribuer au bien commun. Ceci a été constaté dans des domaines aussi divers que l’éducation, la santé publique, le travail social, la justice, l’économie, l’environnement, l’entreprise, les relations internationales, etc.
A titre d’exemples, voici quelques résultats, parmi de nombreux autres :
- L’apprentissage coopératif est bien plus efficace que l’apprentissage compétitif, que ce soit en termes de résultats scolaires, d’ambiance dans la classe, de relations maître-élèves…
- Les entreprises dans lesquelles les employés se sentent heureux de travailler, sont aussi rentables, et souvent plus que celles où ils ne se sentent pas reconnus à leur juste valeur.
- La justice restauratrice (basée sur des rencontres facilitant l’empathie de l’agresseur vis-à-vis de la victime,) obtient des résultats bien meilleurs que la justice pénale traditionnelle, que ce soit en termes de satisfaction des victimes, de responsabilisation des délinquants ou encore de baisse de la récidive.
- Dans les relations internationales, la diplomatie basée sur la négociation est bien plus efficace que la dissuasion (menace du « bâton »), pour réduire le risque de guerre.
La façon de Jacques Lecomte d’aborder l’existence repose sur une certaine conception de l’être humain, appuyée sur de multiples connaissances en sciences humaines, et que Jacques Lecomte qualifie d’optiréalisme. La synthèse de ces recherches est le le sujet de l’ouvrage « La bonté humaine » publié en 2012.
Jacques Lecomte est impliqué dans ce thème à divers titres.
Contrairement à une opinion commune, la très grande majorité des enfants maltraités deviennent des parents affectueux. Dans cette recherche qualitative (entretiens) et quantitative (questionnaires), Jacques Lecomte a analysé les processus ayant permis à des personnes maltraitées de devenir des parents affectueux.
Ce thème tient au cœur de Jacques Lecomte depuis de nombreuses années. Cela a abouti à l’écriture de l’ouvrage « Donner un sens à sa vie ».
Les résultats des recherches montrent que le bien-être (élément à court terme) et le sens (élément à long terme) sont complémentaires ; c’est lorsque l’individu éprouve vit ces deux expériences qu’il est véritablement heureux.
Contrairement à une opinion commune, la plupart des personnes sont heureuses au travail (les 3/4 par exemple en France selon plusieurs enquêtes récentes). La finalité d’une entreprise ne devrait pas être le profit des actionnaires, mais le bien commun.
– un lieu d’épanouissement et de réalisation personnels, dans des conditions satisfaisantes, matériellement et relationnellement ;
– des relations honnêtes avec les fournisseurs ;
– des produits ou des services de qualité pour le client ;
– un impact positif sur la société environnante (diminution du chômage et de la pauvreté, services rendus à la communauté) ;
– le respect de l’environnement, voire son amélioration.
Jacques Lecomte s’intéresse depuis longtemps à la négociation et à la médiation. Il a suivi une formation à la médiation au CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers, Paris) et a réalisé plusieurs médiations au sein d’organisations. Par ailleurs, son mémoire de DEA (diplôme appelé aujourd’hui Master recherche) a porté sur les processus cognitifs ayant conduit aux accords d’Oslo, lesquels ont valu le prix Nobel de la paix à Yasser Arafat, Shimon Peres et Yitzhak Rabin.
Jacques Lecomte est notamment l’auteur de ce chapitre de livre :
"le livre le plus subversif de l’année" selon Frédéric Taddéi (journaliste à Europe 1 et France 2)
Grand prix Moron de l’Académie française 2016, récompensant une œuvre favorisant une nouvelle éthique.
- Jacques Lecomte (2010), Elixir de bonheur, Paris, Interéditions.
- Jacques Lecomte (dir.) (2009). Introduction à la psychologie positive, Paris, Dunod.
- Jacques Lecomte (2008). Maxi-fiches de psychologie ; courants, débats, applications, Paris, Dunod.
- Jacques Lecomte (2007). Donner un sens à sa vie, Paris, Odile Jacob.
- Jacques Lecomte (2004). Guérir de son enfance, Paris, Odile Jacob.
- Stefan Vanistendael et Jacques Lecomte (2000). Le bonheur est toujours possible, construire la résilience, Paris, Bayard.
> illustration par des cas concrets et par des exercices
> relation interactive avec les participants
- Empathie
- Fonctionnement positif des organisations
- Justice restauratrice
- Prévention et résolution des conflits
- Résilience
- Sens à la vie
- Sentiment d’efficacité personnelle
Premium Communication, Agence de Conférenciers et Journalistes-Animateurs
Contact Jacques Lecomte : agence@premium-communication.fr - 01 42 50 06 56